Bonjour,
FenixEcu vient de mettre en vente une solution d'acquisition de données sur bus CAN autonome et universelle. Cette solution se compose d'un enregistreur de données CAN et d'un logiciel de post-traitement de ces données. Le but est d'enregistrer toutes les données qui circulent sur le bus CAN et ensuite, grâce à un fichier base de données (.dbc), de transformer les signaux que l'on souhaite en valeurs exploitables. Aujourd'hui CANconverter permet d'exporter les données aux formats CSV, WinLogView, MegaLogViewer et CANalyzer ASC.
L’intérêt de l'utilisation du bus CAN est que cette technologie auparavant réservée aux constructeurs commence à se répandre et nous voyons apparaitre de plus en plus de systèmes interconnectables. Ainsi nous avons pour les sondes large bande des contrôleurs qui émettent les données sur le bus CAN (DigiLSU par exemple). Des GPS utilisent également ce type de communication. Ensuite pour ne citer que les principaux, les calculateurs moteurs, les calculateurs ABS (vitesses roues, etc), et pour généraliser l'ensemble des systèmes d'un véhicule.
Hier, toutes ces informations étaient inexploitables sans un logiciel dédié et onéreux. De plus ces logiciels étant des outils de développement utilisés en labo, ils ne permettent pas de traiter et visualiser facilement les données, ce n'est pas leur vocation.
Aujourd'hui CANconverter permet en quelques clics de préparer les informations pour les afficher et les traiter dans votre logiciel préféré.
Voici un exemple d'acquisition faite sur le Nürburgring :
Cette image est issue d'une acquisition CAN du véhicule. Ce véhicule est équipé d'un GPS émettant ses trames NMEA sur le CAN. Cela permet donc de visualiser le tracé du véhicule et de pouvoir mettre en face de chaque point géographique toutes les données moteurs, vitesses, etc...
Un autre avantage des systèmes CAN est, dans le cas de la richesse, que celle-ci est lue de manière numérique. Il n'y a pas de double conversion numérique/analogique (au niveau du contrôleur de sonde) puis anologique/numérique (au niveau du calculateur moteur). Donc la valeur affichée est vrai et n'est pas impactée par des éventuelles perturbation électriques et différences de potentiels (offsets de masses).
Il faut également comprendre que l'interprétation des messages CAN est décrite dans des fichiers base de données appelés fichiers DBC (*.dbc). Sans ces fichiers il est impossible de convertir un signal CAN en valeur physique. Aujourd'hui la plupart des constructeurs de matériel utilisant le protocole CAN fournissent ces fichiers DBC sur leurs sites, et ce gratuitement, directement téléchargeable comme sur le site Megasquirt, ou sur simple demande pour d'autres marques. Mais il est quasiment impossible de trouver des fichiers DBC constructeurs et il est donc très rare de pouvoir utiliser les données CAN d'un véhicule d'origine.
Vous pouvez trouver le système d'acquisition de données CAN et le logiciel CANConverter sur la boutique Megasquirt.fr en suivant ce lien :
https://www.megasquirt.fr/fenixecucom/2 ... erter.html
Sportivement,
Manu
FenixEcu vient de mettre en vente une solution d'acquisition de données sur bus CAN autonome et universelle. Cette solution se compose d'un enregistreur de données CAN et d'un logiciel de post-traitement de ces données. Le but est d'enregistrer toutes les données qui circulent sur le bus CAN et ensuite, grâce à un fichier base de données (.dbc), de transformer les signaux que l'on souhaite en valeurs exploitables. Aujourd'hui CANconverter permet d'exporter les données aux formats CSV, WinLogView, MegaLogViewer et CANalyzer ASC.
L’intérêt de l'utilisation du bus CAN est que cette technologie auparavant réservée aux constructeurs commence à se répandre et nous voyons apparaitre de plus en plus de systèmes interconnectables. Ainsi nous avons pour les sondes large bande des contrôleurs qui émettent les données sur le bus CAN (DigiLSU par exemple). Des GPS utilisent également ce type de communication. Ensuite pour ne citer que les principaux, les calculateurs moteurs, les calculateurs ABS (vitesses roues, etc), et pour généraliser l'ensemble des systèmes d'un véhicule.
Hier, toutes ces informations étaient inexploitables sans un logiciel dédié et onéreux. De plus ces logiciels étant des outils de développement utilisés en labo, ils ne permettent pas de traiter et visualiser facilement les données, ce n'est pas leur vocation.
Aujourd'hui CANconverter permet en quelques clics de préparer les informations pour les afficher et les traiter dans votre logiciel préféré.
Voici un exemple d'acquisition faite sur le Nürburgring :
Cette image est issue d'une acquisition CAN du véhicule. Ce véhicule est équipé d'un GPS émettant ses trames NMEA sur le CAN. Cela permet donc de visualiser le tracé du véhicule et de pouvoir mettre en face de chaque point géographique toutes les données moteurs, vitesses, etc...
Un autre avantage des systèmes CAN est, dans le cas de la richesse, que celle-ci est lue de manière numérique. Il n'y a pas de double conversion numérique/analogique (au niveau du contrôleur de sonde) puis anologique/numérique (au niveau du calculateur moteur). Donc la valeur affichée est vrai et n'est pas impactée par des éventuelles perturbation électriques et différences de potentiels (offsets de masses).
Il faut également comprendre que l'interprétation des messages CAN est décrite dans des fichiers base de données appelés fichiers DBC (*.dbc). Sans ces fichiers il est impossible de convertir un signal CAN en valeur physique. Aujourd'hui la plupart des constructeurs de matériel utilisant le protocole CAN fournissent ces fichiers DBC sur leurs sites, et ce gratuitement, directement téléchargeable comme sur le site Megasquirt, ou sur simple demande pour d'autres marques. Mais il est quasiment impossible de trouver des fichiers DBC constructeurs et il est donc très rare de pouvoir utiliser les données CAN d'un véhicule d'origine.
Vous pouvez trouver le système d'acquisition de données CAN et le logiciel CANConverter sur la boutique Megasquirt.fr en suivant ce lien :
https://www.megasquirt.fr/fenixecucom/2 ... erter.html
Sportivement,
Manu
Le plaisir automobile commence à 4000 tours par minute, là ou un moteur diesel s’arrête.